Femme Bcbg, Escorte, Non Pute .(0)
Je mappelle Christine, jai vingt six ans, je suis jolie femme, blonde, BCBG, mariée à Pierre de quatre ans mon aîné, pilote de ligne grand courrier sur une grande compagnie.
Nous sommes mariés depuis six ans et ma vie sexuelle est celle dune jeune fille élevée religieusement dans le respect des traditions.
Jai perdu ma virginité lors de notre nuit de noce comme le voulait mon éducation.
Lorsque Pierre m'a pénétrée, alors que je métais allongée nue près de lui en sortant de la salle de bain, nayant même pas vu son sexe, jai poussé un petit cri de douleur quand il a déchiré mon hymen.
Jai senti son sexe aller et venir rapidement dans ma grotte fraîchement ouverte.
Je nai pas pris de plaisir quand Pierre a éclaté dans ma vulve.
Satisfait de lui et fatigué de notre longue journée, il sest retourné et en quelques minutes sest endormi. Je lai entendu respirer calmement sans pour cela aller jusquà ronfler.
Jai somnolé jusquau matin, Pierre sest réveillé, m'a embrassée tendrement, s'est couché sur moi et m'a reprise.
Sa verge a retrouvé son chemin et malgré une très légère douleur, rapidement un petit orgasme est monté dans mon ventre. Pierre a éjaculé et jai pu me rendormir quelques heures.
Lorsque je me suis réveillée, jétais contente, fidèle à ce que ma maman m'avait inculqué, je suis devenue une petite femme respectable.
Le plus drôle de la situation, cest que je navais toujours pas vu de mes propres yeux la verge dun homme. Je lavais simplement sentie au fond de moi
.
Ouvrant un oeil, jentends Pierre siffler dans la salle de bain, je me lève, enfile le déshabillé offert par maman. Je passe la porte bien décidée à voir lobjet dont, depuis lâge de quinze ans, jai entendu parler sans jamais ne le voir quen photo.
Pierre est devant le lavabo nu, me voyant entrer, il saisit prestement une serviette pour la mettre devant sa verge.
Je lui dis que nous sommes mariés et quil est normal quentre mari et femme on puisse se voir nus, je fais tomber mon déshabillé lui montrant pour la première fois mon abricot doré.
Après une hésitation Pierre fait tomber sa serviette et je peux enfin voir lobjet de mes désirs de jeune fille.
Javance jusqu'à lui, lembrasse tendrement, le remercie davoir fait de moi une femme.
Jose avancer ma main vers ma convoitise pour le toucher. Pierre a un petit mouvement de recul mais se laisse faire.
Nous échangeons un baiser langoureux et lui prenant la main je le guide vers mon sexe pour quil me caresse.
Dans ma main pour la première fois, je sens une verge dhomme grandir et atteindre une taille qui mapparut assez petite.
Pierre me prend dans ses bras et me porte jusquau lit ou une fois de plus, je fis mon devoir conjugal.
Lorsquil eut fini, nus tous les deux sur notre lit de noce, il mexpliqua quil avait eu une éducation très rigoriste et que jétais la première femme avec qui il avait fait lamour.
Vierge moi-même, javais été dépucelé par un puceau que javais dépucelé, nous en avons ri.
Depuis six ans notre vie sexuelle a été aussi calme, Pierre me prenant tendrement lors de ses passages à la maison dans la position classique du missionnaire.
Nous sommes tous les deux daccord pour que je prenne la pilule ne souhaitant pas avoir de grossesse avant mes trente ans.
Pendant ces six ans jai eu de nombreuses sollicitations dhommes de tout genre mais mon éducation m'a obligée à les éconduire discrètement.
Aujourdhui jai rendez-vous à mon salon de beauté pour me faire les soins du corps que le salaire de mon mari me permet de moffrir même si je ne travaille pas moi-même.
Je passe la porte du salon, Virginie maccueille et à partir de ce moment ma vie va basculer.
Elle me dirige vers une cabine, me présente un peignoir, me demande de me mettre nue.
Je mexécute, mallonge sur la table de travail et attends quelle me rejoigne.
Lorsquelle entre, jadmire la plastique de cette femme qui approche certainement le même âge que le mien.
Depuis le temps que je pratique son salon nos habitudes sont bien établies et cest sans problème que je la laisse prodiguer mes soins habituels.
Elle commence son travail par une épilation générale, un massage facial et me fait un masque de beauté. Elle termine cette opération en me mettant une serviette chaude sur la figure qui mempêche de voir ce quelle continue à me faire.
Cette chaleur sur mon visage me permet dêtre dans un état de somnolence très agréable.
Virginie commence à me masser le corps avec des crèmes.
Est-ce latmosphère reposante qui me fit pour la première fois sentir les caresses de ses doigts se diffuser dans mon corps ?
Pour la première fois le centre de mon corps mapparut comme autonome. Un fourmillement très agréable est passé dans cette partie de moi que depuis des années, en bonne épouse, jai ignorée, voir rejetée.
Lorsque les mains de Virginie atteignent les abords de ma vulve, les sensations se font plus précise et plus forte.
Est-ce que Virginie au bout de ses doigts a senti mon émoi, certainement, car pour la première fois depuis que je laisse mon corps à cette professionnelle, elle augmente son massage dans cette zone.
Sous la serviette, toujours posée sur ma figure, je me surprends à émettre un petit cri de plaisir.
Virginie menlève ce bout de tissu chaud et me regarde avec un petit sourire narquois.
Mon visage est rouge, de honte ou de plaisir ?
Ma raison mempêche daffronter la vérité en face, pour la première fois, javais eu un début de plaisir procuré par une femme
.
Virginie voyant mon émoi, me prend gentiment la main, sa caresse légère, procurée par le bout de ses doigts a vite fait de me replonger dans une torpeur encore nouvelle.
Autour de nous, jentends les clientes passer et repasser devant notre cabine, accompagnées vers la sortie par les adjointes de Virginie .
La peur que quelquun ou quelquune entre me fait, par un mouvement de pudeur, remettre prestement mon peignoir. Je me relève et remets mes affaires sans un mot.
Virginie a quitté la cabine et mattend à la caisse.
Arrivée à la maison, Pierre étant absent pour six jours, je traîne mon âme en peine, prend un bain afin de me délasser.
Revenue au salon, je prends mon sac pour chercher mon mouchoir et mes yeux sont attirés par la facture du salon de beauté et plus particulièrement par un papier agrafé à cette dernière.
Quelle nest pas ma surprise de voir un numéro de téléphone avec ces quelques mots :
<<Appelez moi après dix neuf heures >>.
Le rouge me vient aux joues, bien décidée à ne pas répondre à cette sollicitation.
Laprès midi avançant, ma détermination est de moins en moins assurée.
A dix huit heures Pierre mappelle de Pékin pour prendre de mes nouvelles. Nous parlons quelques minutes et il me souhaite bonne nuit.
Le fait de mappeler, une heure avant lheure fatidique proposée par Virginie, va précipiter mon avenir.
Sil navait pas appelé ,jaurais attendu son coup de téléphone et serais restée sagement chez nous.
A dix neuf heures je ny tiens plus et compose le numéro. Virginie répond tout de suite et sans me laisser le temps de réfléchir me donne son adresse en minvitant à venir souper entre filles.
Je mhabille très soft et sort de mon domicile, je monte dans le taxi que javais appelé.
Quinze minutes plus tard je sonne à la porte du joli pavillon ou elle habite.
La porte souvre et nous échangeons un chaste baiser comme de vieilles amies.
Je pénètre dans une salle à manger où la lumière tamisée nous met tout de suite dans
lambiance. La table est dressée avec en son centre deux bougies allumées.
Deux chaises sont placées côte à côte, Virginie maide à prendre place en profitant pour effleurer ma poitrine.
Je sens immédiatement la pointe de mes seins se dresser. Nous dégustons quelques douceurs tous en badinant de tout et de rien.
Tout à coup je sens sa main se poser sur ma cuisse.
Profitant de son avantage, elle me prend la tête et plaque sur ma bouche un baiser. Dabord surprise, je maperçois que mes lèvres acceptent de laisser passer sa langue et venir entourer la mienne.
Rien de comparable avec les baisers amoureux de Pierre, jai limpression que mon corps ne mappartient plus et quil flotte dans la pièce.
Ma nouvelle amie avance sa main vers ma vulve et commence à la caresser très, très
doucement. Rapidement cette simple caresse fait monter en moi un plaisir jamais atteint avec la pénétration de mon homme.
Continuant son avantage Virginie enlève mon soutient gorge et avec sa langue commence à me lécher les mamelons. Là encore ma vulve réagit et un nouvel orgasme saisit tout mon corps.
Nous nous levons et elle mentraîne dans sa chambre, heureusement à quelques mètres, mes jambes ayant du mal à me soutenir.
Dans un état second, je sens quelle me déshabille et que prestement elle se met nue.
Tout en nous embrassant, de plus en plus goulûment, nous chutons sur les draps de soie qui augmente les sensations de douceur que je ressens.
Elle commence à parcourir mon corps de baisers, léchant les parties les plus sensibles, mes seins, mon nombril, remontant vers ma bouche, mes oreilles et enfin elle arrive à ma touffe blonde quelle a très bien entretenue en début daprès midi.
Des cris de jouissance parviennent à mes oreilles. Je mets quelques secondes à comprendre que cest moi qui jouis fortement. Pendant un temps que je ne peux définir mon corps jouit, jouit et jouit encore. Jai dû perdre légèrement conscience car lorsque je remets les pieds sur terre, nous sommes allongées toutes les deux enlacées comme des amantes que nous sommes devenues.
Enfin amante presque, car rapidement je prends conscience que jai été la seule à jouir des caresses de mon amie. Elle me regarde amoureusement, elle aussi, et comme je la remercie de mavoir fait découvrir des plaisirs que je ne connaissais pas alors quelle navait pas eu son plaisir, elle éclate de rire me disant que lavenir nous satisferait toutes les deux.
Cest la première fois que tu fais lamour avec une femme me demande-t-elle ?
Lorsque pendant quelques minutes je me surprends à lui expliquer ma vie amoureuse depuis ma jeunesse, mon mariage, natteignant pas le dixième de ce que javais ressenti depuis le début daprès midi avec elle, elle me serre plus fort dans ses bras me promettant de me faire rattr ces années perdues.
Elle est très étonnée lorsque je lui explique ma jeunesse, ma vie de jeune fille et surtout ma vie de femme depuis mon mariage.
Elle comprend mieux ma réaction lorsque caché par la serviette mon corps sest ouvert au plaisir lors de sa caresse près de mon abricot qui pourtant na pas été très appuyée.
Elle me demande si depuis que je suis adolescente et que mon corps sest transformé pour obtenir cette petite merveille de femme que je suis devenue, avec mes propres doigts je me suis donné du plaisir.
Voyant mon embarras et le rouge qui me monte aux joues, elle resserre son étreinte, me donnant un léger baiser sur les lèvres.
Lenvie revient en moi mais là je veux être active envers elle. Les yeux fermés, je me libère, je descends vers ses seins magnifiques et je prends un de ses tétons dans ma bouche.
Celuici grossit sous ma langue et la sensation de revenir à lâge où je tétais ma mère
menvahit. Comme je tétais le deuxième, Virginie se mit à pousser des gémissements qui furent pour moi une immense satisfaction, pour la première fois je donnais du plaisir à une femme.
Me sentant de plus en plus hardie, je fis descendre mes lèvres le long de son ventre,
noubliant pas de passer ma langue au fond du petit trou formé à la naissance et qui est son nombril.
Enfin jarrive à sa source, elle écarte tendrement ses longues jambes et osant enfin ouvrir les yeux, je peux admirer le sexe que je convoite.
Nue comme le jour de sa naissance, le sexe de Virginie est aussi nu et lisse que mon abricot lorsque javais dix ans.
Prenant ma tête dans ses mains, elle me guide vers sa fente, jai un petit moment de recul, mais me souvenant du plaisir que javais eu lorsque sa langue quelques minutes auparavant mavait labouré, je fais tomber cette dernière barrière et moi aussi jaspire goulûment ses lèvres intimes. Malgré mon manque dexpérience, son bassin oscille sous ma langue, et un jet de liquide vient inonder ma bouche. Un premier, un deuxième, un autre et encore un autre.
Mon visage est inondé et ma petite maîtresse narrête pas de crier de jouissance.
La tension retombe, je remonte jusquà sa figure lui reprend les lèvres et nous échangeons un baiser très langoureux. Cette fois- ci, elle a joui, je nai pas joui mais je suis la plus heureuse des femmes. Cest ainsi que nous nous endormons blotties, étroitement enlacées.
Je crois que le premier chapitre de ma vie amoureuse est terminé pour aujourdhui, le temps de dormir un peu, de récupérer quelques forces et je vous raconterai la suite dans un deuxième chapitre.
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